Trois lieux de départ… Audencourt… Béthencourt… Fontaine au Pire…
Trois Témoins …Carl Leisner… Maïti Girtanner… Edith Stein…
Tous trois confrontés aux horreurs de la seconde guerre mondiale, en camp de concentration ou prisonnier de la Gestapo, ils souffrent mais luttent en annonçant l’Amour du Christ à ceux qui les entourent. Ils deviennent artisans de paix.
Le parcours de chacun de ces témoins ne laisse pas indifférent.
Des questions nous invitent à nous arrêter sur notre propre vie :
«Qu’est-ce qui me parle dans ce témoignage ? Comment cela rejoint ma vie aujourd’hui ? »
Trois Témoins …Carl Leisner… Maïti Girtanner… Edith Stein…
Tous trois confrontés aux horreurs de la seconde guerre mondiale, en camp de concentration ou prisonnier de la Gestapo, ils souffrent mais luttent en annonçant l’Amour du Christ à ceux qui les entourent. Ils deviennent artisans de paix.
Le parcours de chacun de ces témoins ne laisse pas indifférent.
Des questions nous invitent à nous arrêter sur notre propre vie :
«Qu’est-ce qui me parle dans ce témoignage ? Comment cela rejoint ma vie aujourd’hui ? »
Après quelques 45 minutes de marche et de réflexion, la marche s’achève dans la cour de Don Bosco. Les trois groupes se retrouvent, les paroissiens affluent, la célébration peut commencer…
Après la lecture de la Passion, l’abbé Lamotte s’attarde sur les attitudes de Jésus, digne, inquiet, aimant et pardonnant… Lui aussi nous renvoie à notre vie, nos attitudes. Sa question : Nous qui sommes disciples de Jésus, quand on nous voit, QUE VOIT-ON VRAIMENT ?
L’après-midi, les infos tant attendues tombent :
- le prix en baisse : 300€
- les participants 250 inscrits
- possibilité de participer au week-end du 20-21/08
- Possibilité de participer à la semaine à Cologne 16-21/08
Des infos complémentaires sont ensuite données par route, les préoccupations ne sont pas les mêmes si on part à pied, en péniche, en bus, en vélo ou en parachute !!!
- le prix en baisse : 300€
- les participants 250 inscrits
- possibilité de participer au week-end du 20-21/08
- Possibilité de participer à la semaine à Cologne 16-21/08
Des infos complémentaires sont ensuite données par route, les préoccupations ne sont pas les mêmes si on part à pied, en péniche, en bus, en vélo ou en parachute !!!
Le témoignage de jeunes allemandes d’une part( qui nous accueilleront dans le diocèse de Dresde) et celui de François et Thomas d’autre part ( délégués diocésains qui se sont rendus à Rome cette semaine pour l’année de l’Eucharistie) décident les derniers résistants à s’inscrire.
Puis arrive le temps de l’écoute avec Jean Vanier. L’homme de 77 ans témoigne de l’Arche et de ce que les personnes qui y résident lui apportent.
En 1964, il crée l’Arche, une communauté qui accueille les handicapés mentaux. Il veut donner à ces personnes que l’on rejette ou ignore un lieu de paix et d’épanouissement.
A leurs côtés, il découvre les bienfaits de la communauté : c’est une école de l’Amour.
A l’Arche, on ne juge pas ( pas de préjugés, pas de pré-jugements)…
On a tous besoin de se sentir aimé, d’un amour qui libère…
« On saura que vous êtes disciples de Jésus par l’Amour que vous aurez les uns pour les Autres »
Jean Vanier cite ensuite Mère Teresa pour expliciter ses propos :
Elle disait ceci par rapport aux saint qui accompagnent les rejetés de la vie, la première attitude est celle de la répulsion, puis peu à peu on découvre la compassion puis l’émerveillement. Dans un « je t’aime », les murs tombent.
Dans nos sociétés de consommation compliquées, les murs sont nombreux.
Il y a la difficulté de communication, d’ouverture à l’Autre parce qu’il est différent ( langue, religion, culture…)
Le grand problème humain ; c’est qu’il s’enferme dans sa bulle (sa famille, son groupe, sa profession..) , on n’aime pas être dérangé, on aime « avoir la paix »
ALORS faire la paix !!! …. Paraît bien compliqué !!!
Quel prix sommes-nous prêts à donner pour la paix ? Quels sacrifices sommes-nous prêts à faire ?
« La paix n’est pas l’affaire que des gouvernants, elle est l’œuvre de chacun de nous. »
Jean Vanier s’appuie cette fois sur les paroles du Saint Père : Pas de paix sans justice, pas de justice sans pardon.
Le Pardon c’est briser les murs qui séparent les êtres humains.
Notre journée s’est ainsi achevée avec une pensée pour notre pape :
Aux phrases de Jean Vanier pour évoquer son ami Jean-Paul II « il n’a plus besoin d’écrire d’Encyclique, sa propre vie en est une : on y lit FOI et CONFIANCE, notre évêque de répondre : je retiens ces mots et ajoute que l’Eglise a besoin d’être conduite par un saint pas par un jeune sportif !
L’assemblée semble être d’accord avec cela mais au fond d’eux les jeunes souhaitent que sa santé lui permette d’être présent avec eux cet été.
En 1964, il crée l’Arche, une communauté qui accueille les handicapés mentaux. Il veut donner à ces personnes que l’on rejette ou ignore un lieu de paix et d’épanouissement.
A leurs côtés, il découvre les bienfaits de la communauté : c’est une école de l’Amour.
A l’Arche, on ne juge pas ( pas de préjugés, pas de pré-jugements)…
On a tous besoin de se sentir aimé, d’un amour qui libère…
« On saura que vous êtes disciples de Jésus par l’Amour que vous aurez les uns pour les Autres »
Jean Vanier cite ensuite Mère Teresa pour expliciter ses propos :
Elle disait ceci par rapport aux saint qui accompagnent les rejetés de la vie, la première attitude est celle de la répulsion, puis peu à peu on découvre la compassion puis l’émerveillement. Dans un « je t’aime », les murs tombent.
Dans nos sociétés de consommation compliquées, les murs sont nombreux.
Il y a la difficulté de communication, d’ouverture à l’Autre parce qu’il est différent ( langue, religion, culture…)
Le grand problème humain ; c’est qu’il s’enferme dans sa bulle (sa famille, son groupe, sa profession..) , on n’aime pas être dérangé, on aime « avoir la paix »
ALORS faire la paix !!! …. Paraît bien compliqué !!!
Quel prix sommes-nous prêts à donner pour la paix ? Quels sacrifices sommes-nous prêts à faire ?
« La paix n’est pas l’affaire que des gouvernants, elle est l’œuvre de chacun de nous. »
Jean Vanier s’appuie cette fois sur les paroles du Saint Père : Pas de paix sans justice, pas de justice sans pardon.
Le Pardon c’est briser les murs qui séparent les êtres humains.
Notre journée s’est ainsi achevée avec une pensée pour notre pape :
Aux phrases de Jean Vanier pour évoquer son ami Jean-Paul II « il n’a plus besoin d’écrire d’Encyclique, sa propre vie en est une : on y lit FOI et CONFIANCE, notre évêque de répondre : je retiens ces mots et ajoute que l’Eglise a besoin d’être conduite par un saint pas par un jeune sportif !
L’assemblée semble être d’accord avec cela mais au fond d’eux les jeunes souhaitent que sa santé lui permette d’être présent avec eux cet été.
Mgr Garnier a souhaité également aux jeunes de vivre un chemin semblable aux mages et aux témoins. Une route en 5 étapes :
- la première pour arriver au Christ, tout le monde peut y parvenir sans forcément venir d’Orient !
- la route n’est pas simple et parfois semée d’embûches, tous un jour ou l’autre nous avons perdu l’étoile ( notre guide)
- la rencontre avec Hérode est aujourd’hui tentant, l’argent, le pouvoir, la facilité…
- se mettre à genoux : adorer et donner, l’un ne va pas sans l’autre.
- Repartir chez nous, oui mais avec un autre cœur et par un autre chemin
- la première pour arriver au Christ, tout le monde peut y parvenir sans forcément venir d’Orient !
- la route n’est pas simple et parfois semée d’embûches, tous un jour ou l’autre nous avons perdu l’étoile ( notre guide)
- la rencontre avec Hérode est aujourd’hui tentant, l’argent, le pouvoir, la facilité…
- se mettre à genoux : adorer et donner, l’un ne va pas sans l’autre.
- Repartir chez nous, oui mais avec un autre cœur et par un autre chemin
Bonne route à tous et bonne préparation à ces JMJ.
Par Dorothée Quennesson